Boualem Sansal est l’une des grandes voix de la littérature algériennefrancophone, dont les romans ressaisissent la tragique et complexeréalité contemporaine avec une porosité et une faconde sans pareilles.
Après Le serment des Barbares (1999), L’enfant fou de l’arbre creux(2000) et Dis-moi le paradis (2003), son quatrième roman, Harraga(2005) s’attachait à deux destinées de femmes avec autant d’empathieque de lucidité révoltée.
Au printemps 2006, cet auteur qui a «mal àl’Algérie» adressait une lettre ouverte à ses compatriotes intituléePoste restante: Alger , d’un courage civique impressionnant, au termede laquelle il écrivait: «Le président le rappelle tout le temps: lesgens de plume sont des pies auxquelles il faut couper le sifflet.» Lire la suite ICI
Après Le serment des Barbares (1999), L’enfant fou de l’arbre creux(2000) et Dis-moi le paradis (2003), son quatrième roman, Harraga(2005) s’attachait à deux destinées de femmes avec autant d’empathieque de lucidité révoltée.
Au printemps 2006, cet auteur qui a «mal àl’Algérie» adressait une lettre ouverte à ses compatriotes intituléePoste restante: Alger , d’un courage civique impressionnant, au termede laquelle il écrivait: «Le président le rappelle tout le temps: lesgens de plume sont des pies auxquelles il faut couper le sifflet.» Lire la suite ICI