Boko Haram a dissipé les doutes en confirmant la mort de son leader Shekau et a encouragé les combattants à tenir ferme dans sa lutte contre les militants rivaux de l’État islamique. La vidéo de la mort de Shekau a été publiée environ un mois après que des informations faisant état de l’invasion du camp de Boko Haram par un groupe adversaire de l’État islamique d’Afrique de l’Ouest (ISWAP), ont été publiées. La position de Shekau aurait été détectée par l’ISWAP en utilisant ses forces basées au sein du Triangle de Tombouctou. Par ailleurs, les combattants de I’ISWAP ont été tués au cours du processus, suite au long échange de coups de feu entre ce groupe d’invasion et les combattants de Shekau.
À en croire certains rapports, Shekau s’est rendu et s’est permis une réunion de plusieurs heures avec les combattants de l’ISWAP. En effet, l’affilié régional de l’État islamique, l’ISWAP, a voulu recruter les combattants de Shekau et à unifier les groupes qui, au cours du mandat du leader de Boko Haram, se sont battus afin de contrôler le territoire, dans le Nord-est du Nigeria et aux environs du lac Tchad, nous rapporte Reuters. C’est pour cela pendant des pourparlers, il lui a été exigé de renoncer volontairement au pouvoir et d’ordonner à ses hommes dans d’autres régions d’admettre leur allégeance à l’autorité de l’ISWAP, espérant à ce que Shekau publie une déclaration. Ce qui n’a pas été le cas à leur grande surprise. Pour Shekau, une autre option s’imposait.
Chose plutôt étonnante, le féroce Abubakar Shekau, qui avait échappé à l’armée nigériane des années durant, a préféré se tuer plutôt que de ranger derrière une organisation du genre. Ce dernier est donc décédé en se faisant exploser avec une ceinture explosive. Modu, qui est apparu dans une toute nouvelle vidéo, a ressorti la volonté du groupe de travailler avec l’État international en Irak et en Syrie. Sa déclaration dans la langue arabe aurait confirmé clairement la mort de l’ancien chef, Abubakar Shekau, alors « qu’il implorait la grâce d’Allah pour le pardon des défauts de l’ancien chef spirituel et appelait les combattants qui avaient été avec ce dernier à ne pas baisser les armes ».
À en croire certains rapports, Shekau s’est rendu et s’est permis une réunion de plusieurs heures avec les combattants de l’ISWAP. En effet, l’affilié régional de l’État islamique, l’ISWAP, a voulu recruter les combattants de Shekau et à unifier les groupes qui, au cours du mandat du leader de Boko Haram, se sont battus afin de contrôler le territoire, dans le Nord-est du Nigeria et aux environs du lac Tchad, nous rapporte Reuters. C’est pour cela pendant des pourparlers, il lui a été exigé de renoncer volontairement au pouvoir et d’ordonner à ses hommes dans d’autres régions d’admettre leur allégeance à l’autorité de l’ISWAP, espérant à ce que Shekau publie une déclaration. Ce qui n’a pas été le cas à leur grande surprise. Pour Shekau, une autre option s’imposait.
Chose plutôt étonnante, le féroce Abubakar Shekau, qui avait échappé à l’armée nigériane des années durant, a préféré se tuer plutôt que de ranger derrière une organisation du genre. Ce dernier est donc décédé en se faisant exploser avec une ceinture explosive. Modu, qui est apparu dans une toute nouvelle vidéo, a ressorti la volonté du groupe de travailler avec l’État international en Irak et en Syrie. Sa déclaration dans la langue arabe aurait confirmé clairement la mort de l’ancien chef, Abubakar Shekau, alors « qu’il implorait la grâce d’Allah pour le pardon des défauts de l’ancien chef spirituel et appelait les combattants qui avaient été avec ce dernier à ne pas baisser les armes ».