"Après le scrutin de mardi, les démocrates doivent agir rapidement pour désigner M. Obama. Il est en fait, le meilleur candidat", peut-on lire dans les colonnes du quotidien.
Hillary Clinton, qui brigue également l'investiture démocrate, a quant à elle obtenu le ralliement du Pittsburg Tribune-Review, dont l'éditorialiste a financé plusieurs enquêtes du camp conservateur sur elle et son époux, lorsqu'il était à la Maison blanche.
"La décision de Clinton de s'asseoir avec le (comité éditorial du) Trib était courageuse, étant donné nos vieilles critiques à son égard. Le courage politique est essentiel pour un président. Clinton en a fait la preuve. Obama ne l'a pas", affirme dimanche son éditorialiste.
La plupart des observateurs font de la sénatrice de New York la favorite de la primaire de Pennsylvanie, mais la marge avec laquelle elle pourrait l'emporter fait débat.
"OBSCÈNE"
Acquis à sa cause, le gouverneur de l'Etat, Edward Rendell, a souligné qu'Obama avait dépensé 3,5 fois plus que Clinton en frais de campagne en Pennsylvanie.
Selon lui, l'équipe de campagne du sénateur de l'Illinois a notamment investi 2,9 millions de dollars dans des spots télévisés pendant la dernière semaine.
"C'est presque obscène", a-t-il affirmé sur la chaîne CBS. "De ce fait, gagner avec une avance de quatre, cinq, six ou sept points dans de telles conditions serait (pour Hillary Clinton) une grande et remarquable victoire."
L'état-major du sénateur de l'Illinois, qui a annoncé dimanche avoir levé 42 millions de dollars en mars, a réagi en soulignant que Clinton aurait besoin de s'imposer avec des écarts bien plus importants lors des dix votes restants pour remporter la course aux 2.025 délégués nécessaires à l'investiture.
En campagne à Reading, Obama a affirmé dimanche que les deux candidats démocrates seraient meilleurs que le républicain John McCain. "Et tous trois serions meilleurs que George Bush", a-t-il ajouté.
"Nous avons besoin d'un candidat qui s'attaque à John McCain, pas qui l'acclame", a rétorqué Clinton, lors d'un meeting à Johnstown.
Source: yahoo news
Hillary Clinton, qui brigue également l'investiture démocrate, a quant à elle obtenu le ralliement du Pittsburg Tribune-Review, dont l'éditorialiste a financé plusieurs enquêtes du camp conservateur sur elle et son époux, lorsqu'il était à la Maison blanche.
"La décision de Clinton de s'asseoir avec le (comité éditorial du) Trib était courageuse, étant donné nos vieilles critiques à son égard. Le courage politique est essentiel pour un président. Clinton en a fait la preuve. Obama ne l'a pas", affirme dimanche son éditorialiste.
La plupart des observateurs font de la sénatrice de New York la favorite de la primaire de Pennsylvanie, mais la marge avec laquelle elle pourrait l'emporter fait débat.
"OBSCÈNE"
Acquis à sa cause, le gouverneur de l'Etat, Edward Rendell, a souligné qu'Obama avait dépensé 3,5 fois plus que Clinton en frais de campagne en Pennsylvanie.
Selon lui, l'équipe de campagne du sénateur de l'Illinois a notamment investi 2,9 millions de dollars dans des spots télévisés pendant la dernière semaine.
"C'est presque obscène", a-t-il affirmé sur la chaîne CBS. "De ce fait, gagner avec une avance de quatre, cinq, six ou sept points dans de telles conditions serait (pour Hillary Clinton) une grande et remarquable victoire."
L'état-major du sénateur de l'Illinois, qui a annoncé dimanche avoir levé 42 millions de dollars en mars, a réagi en soulignant que Clinton aurait besoin de s'imposer avec des écarts bien plus importants lors des dix votes restants pour remporter la course aux 2.025 délégués nécessaires à l'investiture.
En campagne à Reading, Obama a affirmé dimanche que les deux candidats démocrates seraient meilleurs que le républicain John McCain. "Et tous trois serions meilleurs que George Bush", a-t-il ajouté.
"Nous avons besoin d'un candidat qui s'attaque à John McCain, pas qui l'acclame", a rétorqué Clinton, lors d'un meeting à Johnstown.
Source: yahoo news