Mardi dernier, le Secret Service américain s'est montré fidèle à cette tradition en demandant au Congrès un crédit de 8 millions de dollars pour construire dans le Maryland une réplique grandeur nature de la Maison Blanche, selon le Figaro. Ceci dans le but de permettre à ses hommes de s'entraîner dans un contexte réaliste et de faire des simulations.
En attendant, le sénateur américain Rand Paul annonce qu'il annoncera le 7 avril prochain sa candidature aux primaires républicaines en vue de la présidentielle de novembre 2016. Et Barack Obama regrette de ne pas pas avoir fermé Guantánamo quand il le pouvait encore : «Fermer Guantánamo demanderait la coopération du Congrès, où les Républicains n'ont pas vraiment montré de preuve qu'ils seraient prêts à lever les restrictions actuelles sur le transfert des prisonniers hors de la prison.» rapporte Politico.
Malgré le discours du Caire, la présidence Obama n'aura pas amélioré l'opinion de dizaines de millions d'Arabes à son égard et l'on se demande pourquoi les États-Unis ne cherchent pas à renverser Bachar El Assad alors qu'ils ont foncé, pour ainsi dire sans réfléchir, entraînant la France dans leur malheureux sillage, en Libye. Y aurait-il suffisamment de poches islamistes pour qu'il soit inutile d'en provoquer une supplémentaire en Syrie?
Qu'importe, les négociations sur le nucléaire iranien, ou plutôt le non nucléaire iranien, avancent bien et les protagonistes s'en félicitent. Il fallait tout juste cela pour que Benjamin Netanyahu soit réélu. Après ça, la Maison blanche peut dire qu'elle est en désaccord avec lui.
Cette semaine, le PDG de Starbucks Howard Schultz a lancé une campagne pour que ses cafés américains deviennent des lieux de discussion sur les inégalités raciales après les événements de Ferguson et la mort d'Eric Garner. Les tensions extérieures occasionnées par la politique américaine en appellent, semble-t-il, à l'intérieur. Si elles devaient être à l'aune des chamboulements provoqués au Moyen Orient et en Afrique, elles seraient, à n'en pas douter, démesurées.
En attendant, le sénateur américain Rand Paul annonce qu'il annoncera le 7 avril prochain sa candidature aux primaires républicaines en vue de la présidentielle de novembre 2016. Et Barack Obama regrette de ne pas pas avoir fermé Guantánamo quand il le pouvait encore : «Fermer Guantánamo demanderait la coopération du Congrès, où les Républicains n'ont pas vraiment montré de preuve qu'ils seraient prêts à lever les restrictions actuelles sur le transfert des prisonniers hors de la prison.» rapporte Politico.
Malgré le discours du Caire, la présidence Obama n'aura pas amélioré l'opinion de dizaines de millions d'Arabes à son égard et l'on se demande pourquoi les États-Unis ne cherchent pas à renverser Bachar El Assad alors qu'ils ont foncé, pour ainsi dire sans réfléchir, entraînant la France dans leur malheureux sillage, en Libye. Y aurait-il suffisamment de poches islamistes pour qu'il soit inutile d'en provoquer une supplémentaire en Syrie?
Qu'importe, les négociations sur le nucléaire iranien, ou plutôt le non nucléaire iranien, avancent bien et les protagonistes s'en félicitent. Il fallait tout juste cela pour que Benjamin Netanyahu soit réélu. Après ça, la Maison blanche peut dire qu'elle est en désaccord avec lui.
Cette semaine, le PDG de Starbucks Howard Schultz a lancé une campagne pour que ses cafés américains deviennent des lieux de discussion sur les inégalités raciales après les événements de Ferguson et la mort d'Eric Garner. Les tensions extérieures occasionnées par la politique américaine en appellent, semble-t-il, à l'intérieur. Si elles devaient être à l'aune des chamboulements provoqués au Moyen Orient et en Afrique, elles seraient, à n'en pas douter, démesurées.