Europe
05/06/2012 23:06

Aung San Suu Kyi bientôt en France

Revue de presse Europe du 5 juin 2012

Aung San Suu Kyi bientôt en France - Aung San Suu Kyi en France fin juin - Ukraine : le médecin de Timochenko juge sa guérison incertaine - Italie: des détenus en renfort après les séismes?


Aung San Suu Kyi en France fin juin
La Birmane, Prix Nobel de la paix, est invitée par François Hollande du 26 au 29 juin prochains. La Birmane Aung San Suu Kyi, Prix Nobel de la paix, se rendra en France du 26 au 29 juin, à l'invitation du président François Hollande, a annoncé mardi l'Élysée dans un communiqué. Selon le communiqué, "cette visite permettra de rendre hommage à son combat pour la démocratie et les droits de l'homme et de réaffirmer la volonté de la France de continuer à soutenir la transition politique en Birmanie". La visite s'effectuera dans le cadre d'une tournée que la chef de l'opposition birmane, secrétaire générale de la Ligue nationale pour la démocratie, entreprendra en Europe à partir de la mi-juin. Le 14 juin, elle sera à Genève, où elle prononcera un discours lors de la 101e session de la Conférence internationale du travail de l'Organisation internationale du travail (OIT). Le 16 juin, elle se rendra à Oslo en Norvège, où elle donnera sa conférence pour le Nobel, vingt et un ans après avoir été lauréate du prix de la paix. Mme Suu Kyi, âgée de 66 ans, a passé au total 15 années en résidence surveillée. Elle avait été autorisée pour la première fois à la fin du mois de mai à se rendre à l'étranger, en Thaïlande, où elle a passé six jours.(lepoint.fr) C'est une nouvelle diplomatique, elle est donc neutre.

Ukraine : le médecin de Timochenko juge sa guérison incertaine
Karl Max Einhäupl estime que les conditions d'hospitalisation de l'ex-Premier ministre rendent une guérison complète difficile. Un médecin allemand de la clinique berlinoise Charité a critiqué mardi les conditions du traitement de l'opposante ukrainienne Ioulia Timochenko, doutant qu'elle puisse guérir dans son pays. "La défiance de Mme Timochenko (vis-à-vis des médecins ukrainiens) est tout à fait compréhensible d'un point de vue médical", a déclaré le médecin-chef Karl Max Einhäupl, dont une équipe participe à la prise en charge médicale de l'opposante, qui souffre d'hernies discales. Il s'exprimait lors d'une conférence de presse à Berlin. Critiquant la faible luminosité de sa chambre, l'impossibilité d'ouvrir les fenêtres, et la surveillance permanente de la patiente, Karl Max Einhäupl a affirmé qu'il n'était "pas certain qu'une guérison soit possible dans de telles conditions". "Il faudra certainement des semaines ou des mois avant qu'une guérison complète soit atteinte, si on y arrive", a-t-il ajouté. "La présence constante de personnel de surveillance complique les soins. Nous ne sommes jamais seuls avec elle", a déploré le médecin, qui a eu l'occasion de rencontrer lui-même Ioulia Timochenko dans son hôpital ukrainien. Il a toutefois souligné que son état s'améliorait. "Elle a moins de douleurs", a-t-il dit. "Les possibilités de Ioulia Timochenko de se déplacer sont meilleures. Elle peut quitter son lit plusieurs heures par jour."(lepoint.fr) Le gouvernement veut-il vraiment sa mort?

Italie: des détenus en renfort après les séismes?
Paola Severinio, la ministre de la Justice italienne envisage d'employer des prisonniers "non dangereux" pour aider à la reconstruction du pays après les deux forts séismes qui ont touché les régions du nord. Des prisonniers en renfort après les séismes en Italie ? La ministre italienne de la Justice, Paola Severino, a évoqué lundi l'idée d'utiliser les détenus peu dangereux de la région italienne touchée en 15 jours par deux forts séismes dans les actions d'aide et de reconstruction. "Dans une situation comme celle que nous traversons et qui exige des interventions rapides, je pense que nous pourrions voir aussi une partie de la population carcérale devenir protagoniste d'une reconstruction exemplaire", a dit Paola Severino citée par les médias. "Cette initiative viserait les détenus qui ne sont pas dangereux et qui se trouvent déjà en régime de semi-liberté", a ajouté la ministre, précisant qu'il ne s'agit que d'une "petite idée" qui doit encore être discutée avec les directeurs et responsables de prisons.(l'express.fr) Et pourquoi pas, au moins ils ne seront plus à l'intérieur de leurs prison.

Source: Yahoo actualités


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