Le véhicule était garé près d'un centre de conférence de la capitale espagnole, dans le quartier de Campo de las Naciones, une zone commerciale du nord de la ville.
Le coup de téléphone a été passé par un correspondant anonyme au centre de coordination de la Croix-Rouge, qui l'a répercuté auprès de la police. Les forces de sécurité ont eu le temps d'établir un cordon de sécurité avant l'explosion, qui s'est produite vers 09h00 (08h00 GMT).
"Il n'y a pas de blessés", a confirmé un porte-parole des services de secours.
L'attentat s'est produit quelques heures après une décision de la justice espagnole contre des partis nationalistes basques. Dimanche soir, le Tribunal suprême a annulé les candidatures déposées par Askatasuna et le parti Démocratie Trois Millions (D3M) aux élections régionales de mars en raison de liens avec les clandestins d'ETA.
Le précédent attentat des séparatistes basques remontait au 31 décembre. L'explosion d'une fourgonnette piégée près du siège de la radiotélévision publique avait fait d'importants dégâts matériels à Bilbao mais pas de blessés.
ETA n'avait plus frappé à Madrid depuis l'attentat de décembre 2006 dans un parking de l'aéroport international Barajas, fatal à deux Equatoriens. Le gouvernement socialiste de Jose Luis Rodriguez Zapatero a rompu les pourparlers à la suite de cet attentat à la voiture piégée.
Dans une déclaration diffusée fin janvier pour le cinquantième anniversaire de sa création, Euskadi Ta Askatasuna (Patrie basque et liberté) a affirmé qu'il poursuivrait la lutte jusqu'à l'obtention de l'indépendance.
"Les Etats ennemis (ndlr, l'Espagne et la France), expliquent les clandestins, ne montrent pas le moindre signe de leur volonté de respecter le mot de Pays basque."
Source: Yahoo News
Le coup de téléphone a été passé par un correspondant anonyme au centre de coordination de la Croix-Rouge, qui l'a répercuté auprès de la police. Les forces de sécurité ont eu le temps d'établir un cordon de sécurité avant l'explosion, qui s'est produite vers 09h00 (08h00 GMT).
"Il n'y a pas de blessés", a confirmé un porte-parole des services de secours.
L'attentat s'est produit quelques heures après une décision de la justice espagnole contre des partis nationalistes basques. Dimanche soir, le Tribunal suprême a annulé les candidatures déposées par Askatasuna et le parti Démocratie Trois Millions (D3M) aux élections régionales de mars en raison de liens avec les clandestins d'ETA.
Le précédent attentat des séparatistes basques remontait au 31 décembre. L'explosion d'une fourgonnette piégée près du siège de la radiotélévision publique avait fait d'importants dégâts matériels à Bilbao mais pas de blessés.
ETA n'avait plus frappé à Madrid depuis l'attentat de décembre 2006 dans un parking de l'aéroport international Barajas, fatal à deux Equatoriens. Le gouvernement socialiste de Jose Luis Rodriguez Zapatero a rompu les pourparlers à la suite de cet attentat à la voiture piégée.
Dans une déclaration diffusée fin janvier pour le cinquantième anniversaire de sa création, Euskadi Ta Askatasuna (Patrie basque et liberté) a affirmé qu'il poursuivrait la lutte jusqu'à l'obtention de l'indépendance.
"Les Etats ennemis (ndlr, l'Espagne et la France), expliquent les clandestins, ne montrent pas le moindre signe de leur volonté de respecter le mot de Pays basque."
Source: Yahoo News