La victime était un membre de la police nationale espagnole, selon le ministre basque de l'Intérieur Rodolfo Ares. Le policier, Eduardo Antonio Pueyes Garcia, était âgé de 49 ans. Selon le quotidien El Pais, il était membre d'unité de lutte contre l'ETA.
D'après la presse espagnole, la bombe dissimulée sous la voiture a explosé lorsque le policier stationné sur un parking a démarré, une technique fréquemment utilisée par l'organisation séparatiste basque. Rodolfo Ares a déclaré ne pas pouvoir confirmer les circonstances de l'attentat.
Si l'implication de l'ETA était confirmée, il s'agirait du premier attentat meurtrier du mouvement depuis l'arrivée en mai du socialiste Patxi Lopez à la tête du gouvernement régional basque. Le Parti populaire et les socialistes espagnols ont conclu un accord mettant fin à près de 30 années de gouvernance nationaliste dans cette province.
"Encore une fois, des terroristes ont pris la vie d'un serviteur de notre population, un agent de la police nationale dont le seul crime était de travailler au quotidien pour assurer la sécurité et la liberté du peuple basque", a commenté Patxi Lopez. Il a accusé l'ETA et promis que le mouvement serait démantelé. "Ils nous ont montré le chemin de la souffrance. Nous allons leur montrer le chemin de la prison", a-t-il ajouté.
La France a "fermement" condamné "cet acte de la plus grande lâcheté". L'Espagne, a ajouté le ministère français des Affaires étrangères, "peut être assurée du soutien indéfectible des autorités françaises pour lutter de façon déterminée contre le terrorisme".
Lundi, l'ETA a revendiqué lundi la responsabilité d'une série d'attentats, dont l'explosion d'une voiture piégée devant les locaux de l'entreprise de construction Ferrovial dans une zone d'activité de la banlieue de Madrid le 9 février dernier. Ces attentats n'ont pas fait de victimes.
Source: Associated Presse via Yahoo News
D'après la presse espagnole, la bombe dissimulée sous la voiture a explosé lorsque le policier stationné sur un parking a démarré, une technique fréquemment utilisée par l'organisation séparatiste basque. Rodolfo Ares a déclaré ne pas pouvoir confirmer les circonstances de l'attentat.
Si l'implication de l'ETA était confirmée, il s'agirait du premier attentat meurtrier du mouvement depuis l'arrivée en mai du socialiste Patxi Lopez à la tête du gouvernement régional basque. Le Parti populaire et les socialistes espagnols ont conclu un accord mettant fin à près de 30 années de gouvernance nationaliste dans cette province.
"Encore une fois, des terroristes ont pris la vie d'un serviteur de notre population, un agent de la police nationale dont le seul crime était de travailler au quotidien pour assurer la sécurité et la liberté du peuple basque", a commenté Patxi Lopez. Il a accusé l'ETA et promis que le mouvement serait démantelé. "Ils nous ont montré le chemin de la souffrance. Nous allons leur montrer le chemin de la prison", a-t-il ajouté.
La France a "fermement" condamné "cet acte de la plus grande lâcheté". L'Espagne, a ajouté le ministère français des Affaires étrangères, "peut être assurée du soutien indéfectible des autorités françaises pour lutter de façon déterminée contre le terrorisme".
Lundi, l'ETA a revendiqué lundi la responsabilité d'une série d'attentats, dont l'explosion d'une voiture piégée devant les locaux de l'entreprise de construction Ferrovial dans une zone d'activité de la banlieue de Madrid le 9 février dernier. Ces attentats n'ont pas fait de victimes.
Source: Associated Presse via Yahoo News