Faits Divers - Société
19/07/2010 18:32

Apple, la concurrence contre-attaque

« Les téléphones ne sont pas parfaits... Tous les téléphones ont des points faibles. Et c'est un challenge pour l'industrie tout entière. » En impliquant plusieurs modèles de smartphones concurrents dans sa petite démonstration de vendredi dernier, Steve Jobs s'est attiré les foudres de ses concurrents.



iPhone 4 : mise en cause par Apple, la concurrence contre-attaque
« Les téléphones ne sont pas parfaits... Tous les téléphones ont des points faibles. Et c'est un challenge pour l'industrie tout entière. » En impliquant plusieurs modèles de smartphones concurrents dans sa petite démonstration de vendredi dernier, Steve Jobs s'est attiré les foudres de ses concurrents. Ceux-ci n'ont en effet pas tardé à réagir à l'offensive d'Apple - attaque qui se prolonge par ailleurs sur le Web par l'intermédiaire d'une page dédiée sur le site officiel de la marque à la pomme intitulée « Smartphone antenna performance ». Elle rappelle que « presque tout smartphone perd en force de signal s'il est tenu d'une certaine façon ». Le plus véhément de ceux-ci a incontestablement été le canadien RIM, toujours leader sur le marché des smartphones avec ses fameux Blackberry. Dans un communiqué, les deux patrons de l'entreprise s'en sont violemment pris à Apple, pour avoir montré une vidéo d'un de ses modèles populaires (le Bold 9700) perdre des barres de signal lors de la fameuse conférence. « La tentative d'Apple d'entraîner RIM dans la débâcle où il s'est mis lui-même est inacceptable. Les allégations d'Apple à propos des produits de RIM relèvent d'une tentative délibérée de fausser la façon dont le public perçoit la question de la conception de l'antenne et détourner son attention de la situation difficile dans laquelle se trouve Apple », écrivent ainsi Mike Lazaridis et Jim Balsillie.(01.net)

Facebook se cherche des amis en Asie
Alors qu'il s'apprête à se lancer sur les marchés asiatiques, le réseau social Facebook risque de se heurter aux volontés de préserver la vie privée en Corée du Sud et au Japon, ainsi qu'à la sévérité de la censure en Chine. Le fondateur et P-DG du site, Mark Zuckerberg, prévoit pour Facebook une stratégie plus individualisée pour les trois principaux marchés d'internet en Asie, où il aura la difficile tâche de conquérir les terres de ses concurrents Mixi au Japon et Qzone en Chine. Avec presque 500 millions d'inscrits, Facebook est d'ores et déjà un géant du réseau social, mais reste peu implanté en Asie, où il veut se développer pour compenser le tassement de sa croissance sur les marchés occidentaux. "L'Asie est de première importance pour Facebook. La Chine abrite le plus grand nombre d'internautes, et le Japon arrive en tête en termes de masse monétaire", estime Atul Bagga, analyste en réseaux sociaux pour ThinkEquity, à San Francisco. On compte aujourd'hui un million d'inscrits à Facebook au Japon et en Corée du Sud réunis. Le site est interdit en Chine.(reuters)

Le Conseil d'Etat dénonce les irrégularités du fichier Base élèves
Protestations, plaintes déposées, intervention d'un organisme des Nations Unies, saisine du Conseil d'Etat... La polémique que suscite auprès des enseignants et des parents d'élèves le fichier informatique Base élèves 1er degré ne dégonfle pas. Et ce n'est pas la décision du Conseil d'Etat, datée du 19 juillet, qui va calmer le jeu. La plus haute juridiction administrative publie sur son site une décision selon laquelle ce fichier, mis en place en 2004 pour recenser les élèves du primaire, n'est pas conforme à la loi Informatique et libertés sous plusieurs aspects. « Le Conseil d'État relève tout d'abord que, s'il a bien fait l'objet d'une déclaration à la fin de l'année 2004 auprès de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), ce fichier a commencé à être utilisé sans attendre la délivrance du récépissé de la déclaration, intervenue seulement le 1er mars 2006 », explique l'institution. Conclusion : entre la fin de 2004 et début mars 2006, la mise en oeuvre de Base élèves était illégale.(01.net)

iPhone 4 : êtes-vous satisfait des mesures annoncées par Apple ?
Apple a expliqué sa position au sujet de l'iPhone 4 et annoncé le 16 juillet un remède au problème de réception dont souffre son smartphone. La pétition de 01net. soulignait la nécessité d'apporter une solution matérielle à même de préserver la qualité de réception de l'appareil et exigeait la mise sur le marché, à brève échéance, d'une nouvelle version non défectueuse de l'iPhone 4. Apple a satisfait le premier point en annonçant la distribution gratuite d'un étui, le fameux « bumper ». Nous stoppons donc la pétition 01net., tout en prenant bonne note que rien n'a été promis quant à la mise sur le marché d'un iPhone 4bis. Vous avez été environ 900 lecteurs à signer cette pétition au soir du 19 juillet et plusieurs dizaines de milliers à en avoir pris connaissance ou à l'avoir commentée. Nous vous remercions sincèrement d'avoir exprimé votre avis. Ce faisant, vous avez confié à 01net. le soin de porter vos revendications et de relayer votre mécontentement. En un mot, vous nous avez fait confiance. Cette pétition va maintenant être transmise, comme promis, à Apple France. Nous espérons que cette forte mobilisation infléchira favorablement les futures décisions du groupe californien.(01.net)

L'offre légale de livres électroniques est encore faible
IPad, Nook, Kindle, Cybook, espace Labo BNF à la bibliothèque François-Mitterrand… Depuis cet automne, on n'a jamais autant entendu parler du livre électronique. Des supports matériels en tout cas. Mais que peut-on concrètement bouquiner sur une liseuse aujourd'hui ? Le Motif, un organisme associé à la région Ile-de-France consacré au livre et à l'écrit, publie ce mois-ci une étude sur l'offre de téléchargement légal en France. Cette initiative fait suite à un état des lieux du piratage sur Internet, publié par le Motif au mois d'octobre 2009. Les deux travaux vont évidemment de paire, avec cette question sous-jacente : l'offre légale peut-elle rivaliser avec celle de contenus piratés ? La réponse est claire. Non ! Même si le « piratage n'a pas encore véritablement décollé dans le domaine du livre », indique l'étude, disponible en téléchargement sur le site du Motif (en PDF). L'offre numérique légale représenterait « à peine 10 % de l'ensemble des titres disponibles à la vente papier ». De plus, télécharger un livre numérique, sur Fnac.com par exemple, est assez fastidieux, cela nécessite une dizaine d'étapes. Les choses se passent un peu plus simplement sur les plates-formes mobiles. Et sur les sites pirates.(01.net)

Source: Yahoo Actualités

Victor Nouioua



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