La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie sera entendue comme "simple témoin le vendredi 21 décembre" par les juges en charge de l'affaire Clearstream, a-t-on appris vendredi dans son entourage.
Ce sera la deuxième fois que la ministre sera entendue dans cette affaire de dénonciation calomnieuse.
Le statut de simple témoin signifie que l'enquête n'a pas mis en évidence d'indices qui rendent Mme Alliot-Marie suspecte d'une éventuelle complicité des infractions poursuivies.
Les juges d'Huy et Pons tentent de déterminer le degré de connaissance que Michèle Alliot-Marie a eu de cette affaire dans laquelle l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a été mis en examen le 27 juillet.
A l'époque ministre de la Défense et numéro 3 du gouvernement Villepin, Mme Alliot-Marie avait été entendue comme simple témoin pendant plus de onze heures dans le cadre de cette enquête, le 9 novembre 2006.
Cette nouvelle demande d'audition fait suite à une confrontation organisée en novembre par les juges entre le général Philippe Rondot, témoin clef de l'affaire, et Philippe Marland, ancien chef de cabinet de Mme Alliot-Marie au ministère de la Défense.
Ex-conseiller de la ministre de la Défense pour le renseignement et les opérations spéciales (Cros), le général Rondot avait été chargé par Mme Alliot-Marie d'une enquête sur certaines des personnes citées dans les listings bancaires de Clearstream.
Transmis à la justice en mai 2004, ces listings étaient des faux et auraient pu mettre injustement en cause plusieurs personnalités, dont Nicolas Sarkozy, comme détentrices de fonds à l'origine éventuellement suspecte.
Source: http://fr.news.yahoo.com
Ce sera la deuxième fois que la ministre sera entendue dans cette affaire de dénonciation calomnieuse.
Le statut de simple témoin signifie que l'enquête n'a pas mis en évidence d'indices qui rendent Mme Alliot-Marie suspecte d'une éventuelle complicité des infractions poursuivies.
Les juges d'Huy et Pons tentent de déterminer le degré de connaissance que Michèle Alliot-Marie a eu de cette affaire dans laquelle l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a été mis en examen le 27 juillet.
A l'époque ministre de la Défense et numéro 3 du gouvernement Villepin, Mme Alliot-Marie avait été entendue comme simple témoin pendant plus de onze heures dans le cadre de cette enquête, le 9 novembre 2006.
Cette nouvelle demande d'audition fait suite à une confrontation organisée en novembre par les juges entre le général Philippe Rondot, témoin clef de l'affaire, et Philippe Marland, ancien chef de cabinet de Mme Alliot-Marie au ministère de la Défense.
Ex-conseiller de la ministre de la Défense pour le renseignement et les opérations spéciales (Cros), le général Rondot avait été chargé par Mme Alliot-Marie d'une enquête sur certaines des personnes citées dans les listings bancaires de Clearstream.
Transmis à la justice en mai 2004, ces listings étaient des faux et auraient pu mettre injustement en cause plusieurs personnalités, dont Nicolas Sarkozy, comme détentrices de fonds à l'origine éventuellement suspecte.
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