Les deux hommes, dont les Etats sont de proches alliés, ont discuté des principales questions bilatérales, régionales et internationales, a rapporté l'agence de presse officielle Irna, quelques heures après l'arrivée de Bachar al Assad à Téhéran.
Selon les médias iraniens, le chef de l'Etat syrien entendait féliciter son homologue après sa réélection du 12 juin, contestée par l'opposition iranienne.
L'agence Irna n'a pas précisé si le cas de Clotilde Reiss, Française de 24 ans accusée d'espionnage, a été évoqué durant l'entretien.
La jeune femme, lectrice de français à l'université d'Ispahan, a été libérée sous caution dimanche après un mois et demi de prison. Elle est hébergée à l'ambassade de France à Téhéran, en attendant le jugement de la justice iranienne.
Après sa libération, le président français Nicolas Sarkozy avait remercié plusieurs pays, dont la Syrie, pour leur soutien dans ce dossier qui a exacerbé les tensions entre Paris et Téhéran.
Damas, en quête de réhabilitation sur le plan international, a estimé en juillet par la voix de son ministre des Affaires étrangères Walid al Moualem être en mesure de jouer un rôle pour résoudre le différend sur le programme nucléaire iranien, que les Occidentaux soupçonnent d'avoir une finalité militaire.
Source: Reuters via Yahoo News
Selon les médias iraniens, le chef de l'Etat syrien entendait féliciter son homologue après sa réélection du 12 juin, contestée par l'opposition iranienne.
L'agence Irna n'a pas précisé si le cas de Clotilde Reiss, Française de 24 ans accusée d'espionnage, a été évoqué durant l'entretien.
La jeune femme, lectrice de français à l'université d'Ispahan, a été libérée sous caution dimanche après un mois et demi de prison. Elle est hébergée à l'ambassade de France à Téhéran, en attendant le jugement de la justice iranienne.
Après sa libération, le président français Nicolas Sarkozy avait remercié plusieurs pays, dont la Syrie, pour leur soutien dans ce dossier qui a exacerbé les tensions entre Paris et Téhéran.
Damas, en quête de réhabilitation sur le plan international, a estimé en juillet par la voix de son ministre des Affaires étrangères Walid al Moualem être en mesure de jouer un rôle pour résoudre le différend sur le programme nucléaire iranien, que les Occidentaux soupçonnent d'avoir une finalité militaire.
Source: Reuters via Yahoo News