La presse traite, bien entendu, le sujet avec empressement: tout ce qui porte le nom Sarkozy est très vendeur. Mais tout n'est pas forcémént facile à commenter...
Il ne fait pas bon de s'attaquer au fils du chef de l'Etat. M'Hamed Bellouti l'a appris, à ses frais.
Voici.fr
Affaire du scooter: Jean Sarkozy soulagé ?
Affaire classée. Au bout de trois ans de bataille juridique, l'affaire du scooter de Jean Sarkozy est bouclée. La raison ? Le conducteur du véhicule impliqué, M'Hamed Bellouti a décidé d'abandonner les poursuites.
Elle.fr.
Le 9 avril dernier, la Justice a débouté M'Hamed Bellouti, l'automobiliste qui accusait Jean Sarkozy de "délit de fuite", assurant que le fils de Nicolas Sarkozy l'avait percuté avec son scooter le 14 octobre 2005 avant de s'enfuir.
Le 4 mars, M'Hamed Bellouti avait déjà annoncé au Post: "Si la Justice me donne tort, j'irai devant la Cour de cassation et même devant la Cour européenne des Droits de l'Homme s'il le faut. Je ne lâcherai rien."
Rebondissement ce vendredi: dans un courriel envoyé au Post, M'Hamed Bellouti annonce qu'"après 3 ans de procédure, cette affaire est belle et bien terminée".
Sur son site, le comité de soutien de M'Hamed Bellouti explique les raisons de sa dissolution. Remerciant la "générosité et la constance" des personnes qui ont soutenu l'automobiliste "pour faire face à cette injustice flagrante", le comité justifie sa dissolution par le fait que "l'honneur de M'Hamed est sauf".
Lepost.fr
Rappel des faits : en 2005, au volant de sa BMW, M'Hamed Bellouti affirmait avoir été percuté par un scooter. Après relevé de la plaque d'immatriculation, le scooter appartenait à Jean Sarkozy, président du groupe UMP au conseil général des Hauts de Seine.
En première instance, le 29 septembre 2008, M'Hamed Bellouti avait été débouté de sa demande et était condamné à verser 2.000 euros d'amende à Jean Sarkozy pour avoir « agi de mauvaise foi et porté préjudice » au fils de Nicolas Sarkozy.En appel, la 20ème chambre de la cour d'appel de Paris a également débouté l'automobiliste M'Hamed Bellouti, annulant cependant sa condamnation à verser 2.000 euros au titre de dommages et intérêts.
Lepoint.fr
Il ne fait pas bon de s'attaquer au fils du chef de l'Etat. M'Hamed Bellouti l'a appris, à ses frais.
Voici.fr
Affaire du scooter: Jean Sarkozy soulagé ?
Affaire classée. Au bout de trois ans de bataille juridique, l'affaire du scooter de Jean Sarkozy est bouclée. La raison ? Le conducteur du véhicule impliqué, M'Hamed Bellouti a décidé d'abandonner les poursuites.
Elle.fr.
Le 9 avril dernier, la Justice a débouté M'Hamed Bellouti, l'automobiliste qui accusait Jean Sarkozy de "délit de fuite", assurant que le fils de Nicolas Sarkozy l'avait percuté avec son scooter le 14 octobre 2005 avant de s'enfuir.
Le 4 mars, M'Hamed Bellouti avait déjà annoncé au Post: "Si la Justice me donne tort, j'irai devant la Cour de cassation et même devant la Cour européenne des Droits de l'Homme s'il le faut. Je ne lâcherai rien."
Rebondissement ce vendredi: dans un courriel envoyé au Post, M'Hamed Bellouti annonce qu'"après 3 ans de procédure, cette affaire est belle et bien terminée".
Sur son site, le comité de soutien de M'Hamed Bellouti explique les raisons de sa dissolution. Remerciant la "générosité et la constance" des personnes qui ont soutenu l'automobiliste "pour faire face à cette injustice flagrante", le comité justifie sa dissolution par le fait que "l'honneur de M'Hamed est sauf".
Lepost.fr
Rappel des faits : en 2005, au volant de sa BMW, M'Hamed Bellouti affirmait avoir été percuté par un scooter. Après relevé de la plaque d'immatriculation, le scooter appartenait à Jean Sarkozy, président du groupe UMP au conseil général des Hauts de Seine.
En première instance, le 29 septembre 2008, M'Hamed Bellouti avait été débouté de sa demande et était condamné à verser 2.000 euros d'amende à Jean Sarkozy pour avoir « agi de mauvaise foi et porté préjudice » au fils de Nicolas Sarkozy.En appel, la 20ème chambre de la cour d'appel de Paris a également débouté l'automobiliste M'Hamed Bellouti, annulant cependant sa condamnation à verser 2.000 euros au titre de dommages et intérêts.
Lepoint.fr