Au sujet de la récente condamnation d'Hissène Habré au Tchad, dans le cadre d'un procès instruit par la cour criminelle tchadienne, "nous avons pris note des indications données par la justice tchadienne selon lesquelles il s'agissait d'une procédure pour d'autres motifs que ceux pour lesquels le Sénégal a été mandaté", a affirmé le porte-parole adjoint du ministère des Affaires étragères Frédéric Desagneaux, lors d'un point de presse.
"Cette procédure ne devrait pas affecter le processus entamé au Sénégal", a-t-il ajouté, rappelant l'opposition française à la peine de mort, "quelles que soient les circonstances invoquées".
L'Union africaine a mandaté en juillet 2006 le Sénégal pour juger M. Habré, "accusé des crimes contre l'humanité, des crimes de guerre et des actes de torture durant sa présidence du Tchad de 1982 à 1990". "Comme l'Union africaine et de nombreuses ONG, nous attachons une grande importance à la tenue de ce procès d'Hissène Habré", a indiqué le diplomate français.
Source: Rewmi
"Cette procédure ne devrait pas affecter le processus entamé au Sénégal", a-t-il ajouté, rappelant l'opposition française à la peine de mort, "quelles que soient les circonstances invoquées".
L'Union africaine a mandaté en juillet 2006 le Sénégal pour juger M. Habré, "accusé des crimes contre l'humanité, des crimes de guerre et des actes de torture durant sa présidence du Tchad de 1982 à 1990". "Comme l'Union africaine et de nombreuses ONG, nous attachons une grande importance à la tenue de ce procès d'Hissène Habré", a indiqué le diplomate français.
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