Volkswagen produira des voitures électriques en Chine avec FAW
Volkswagen va développer des voitures électriques en Chine sous la nouvelle marque Kaili, en partenariat avec le groupe FAW, rejoignant ses concurrents étrangers dans la course pour ce marché prometteur. Le véhicule électrique a été approuvé le 3 mai par le ministère chinois de l'Industrie, a annoncé mercredi Volkswagen, qui prévoit de démarrer sa production d'ici fin 2013 ou début 2014. Le numéro un européen de l'automobile, qui gère déjà un partenariat avec le constructeur chinois SAIC Motor, rejoint ainsi sur le marché chinois du véhicule électrique d'autres acteurs mondiaux, dont l'allemand Daimler, l'américain General Motors et le japonais Nissan. En juin dernier, la Chine a dévoilé dans cinq villes un projet pilote de subventions aux acheteurs de véhicules efficaces sur le plan énergétique, signe que le pays cherche désormais à réduire ses émissions de gaz à effet de serre, qui sont les plus importantes du monde. GM a déjà commencé à fabriquer la version électrique de sa Chevrolet Sail via un partenariat avec SAIC.
Dexia rassure sur son activité malgré les actifs toxiques
Dexia a rassuré le marché mercredi en affichant des performances opérationnelles trimestrielles meilleures qu'attendu qui ont éclipsé de nouvelles pertes et dépréciations sur ses actifs toxiques et son portefeuille obligataire. Hors impact lié aux cessions d'actifs toxiques, son résultat avant impôt a doublé sur les trois premiers mois de l'année, à 421 millions d'euros. Ses revenus ont quant à eux augmenté de 7,6%. "Du fait de la réduction du gap de liquidité à court terme et de la diminution globale du portefeuille extrêmement rapide au cours des douze mois écoulés, nous avons enregistré des pertes de revenus importantes", a déclaré Pierre Mariani, le président du comité de direction de la banque, lors d'une conférence téléphonique. "C'est le prix de la sécurité renforcée et de l'assainissement du bilan du groupe", a-t-il ajouté.
Le résultat net de Hitachi quadruplé au 4e trimestre
Hitachi a livré mercredi un bénéfice trimestriel quadruplé grâce à des réductions de coûts et à une forte demande de puces et d'engins de chantier, mais n'a donné aucune prévision pour l'exercice en cours en raison du séisme qui a frappé le Japon le 11 mars. Le conglomérat a engagé une réorganisation de son empire de quelque 900 entreprises pour se concentrer davantage sur ses activités dans les infrastructures et abandonner les secteurs non rentables. Réductions de coûts, cessions d'actifs et fortes ventes dans les marchés émergents de ses activités de pièces automobiles, d'ascenseurs et de pelleteuses ont permis au groupe nippon de dégager un bénéfice net de 18,7 milliards de yens (160 millions d'euros) sur le trimestre janvier-mars, quatrième de son exercice. Ce résultat aurait pu être plus élevé si Hitachi n'avait pas enregistré 75 milliards de yens de dommages liés au tremblement de terre et au tsunami qui ont ravagé le nord-est du Japon il y a deux mois.
Asie et USA ont tiré la croissance d'Hermès au 1er trimestre
Hermès a signé une des plus belles performances du secteur du luxe au premier trimestre, malgré le Japon, avec des ventes en hausse de 25,5% portées par une dynamique toujours très puissante en Asie ainsi que par une exceptionnelle croissance aux Etats-Unis.
Le chiffre d'affaires du sellier de la rue du Faubourg Saint-Honoré, dans lequel LVMH a pris une participation de 20%, a atteint 637,1 millions d'euros, dépassant nettement le consensus des analystes interrogés par Reuters qui était de 583 millions d'euros.
Sa croissance à taux de change constants a atteint 20,7%, un chiffre lui aussi largement supérieur aux attentes (+14%), une performance d'autant plus remarquable que la croissance avait déjà atteint 20% un an auparavant.
La banque HSBC veut économiser 3,5 milliards de dollars
HSBC Holdings a annoncé mercredi son intention d'économiser jusqu'à 3,5 milliards de dollars (2,4 milliards d'euros) en réduisant la voilure dans ses activités de gestion de patrimoine et de banque de détail. La première banque européenne étudie également l'avenir de son activité dans les cartes de crédit aux Etats-Unis, a précisé son directeur général Stuart Gulliver.
Lire la suite de l'article sur le site Editoweb Magazine ici
Volkswagen va développer des voitures électriques en Chine sous la nouvelle marque Kaili, en partenariat avec le groupe FAW, rejoignant ses concurrents étrangers dans la course pour ce marché prometteur. Le véhicule électrique a été approuvé le 3 mai par le ministère chinois de l'Industrie, a annoncé mercredi Volkswagen, qui prévoit de démarrer sa production d'ici fin 2013 ou début 2014. Le numéro un européen de l'automobile, qui gère déjà un partenariat avec le constructeur chinois SAIC Motor, rejoint ainsi sur le marché chinois du véhicule électrique d'autres acteurs mondiaux, dont l'allemand Daimler, l'américain General Motors et le japonais Nissan. En juin dernier, la Chine a dévoilé dans cinq villes un projet pilote de subventions aux acheteurs de véhicules efficaces sur le plan énergétique, signe que le pays cherche désormais à réduire ses émissions de gaz à effet de serre, qui sont les plus importantes du monde. GM a déjà commencé à fabriquer la version électrique de sa Chevrolet Sail via un partenariat avec SAIC.
Dexia rassure sur son activité malgré les actifs toxiques
Dexia a rassuré le marché mercredi en affichant des performances opérationnelles trimestrielles meilleures qu'attendu qui ont éclipsé de nouvelles pertes et dépréciations sur ses actifs toxiques et son portefeuille obligataire. Hors impact lié aux cessions d'actifs toxiques, son résultat avant impôt a doublé sur les trois premiers mois de l'année, à 421 millions d'euros. Ses revenus ont quant à eux augmenté de 7,6%. "Du fait de la réduction du gap de liquidité à court terme et de la diminution globale du portefeuille extrêmement rapide au cours des douze mois écoulés, nous avons enregistré des pertes de revenus importantes", a déclaré Pierre Mariani, le président du comité de direction de la banque, lors d'une conférence téléphonique. "C'est le prix de la sécurité renforcée et de l'assainissement du bilan du groupe", a-t-il ajouté.
Le résultat net de Hitachi quadruplé au 4e trimestre
Hitachi a livré mercredi un bénéfice trimestriel quadruplé grâce à des réductions de coûts et à une forte demande de puces et d'engins de chantier, mais n'a donné aucune prévision pour l'exercice en cours en raison du séisme qui a frappé le Japon le 11 mars. Le conglomérat a engagé une réorganisation de son empire de quelque 900 entreprises pour se concentrer davantage sur ses activités dans les infrastructures et abandonner les secteurs non rentables. Réductions de coûts, cessions d'actifs et fortes ventes dans les marchés émergents de ses activités de pièces automobiles, d'ascenseurs et de pelleteuses ont permis au groupe nippon de dégager un bénéfice net de 18,7 milliards de yens (160 millions d'euros) sur le trimestre janvier-mars, quatrième de son exercice. Ce résultat aurait pu être plus élevé si Hitachi n'avait pas enregistré 75 milliards de yens de dommages liés au tremblement de terre et au tsunami qui ont ravagé le nord-est du Japon il y a deux mois.
Asie et USA ont tiré la croissance d'Hermès au 1er trimestre
Hermès a signé une des plus belles performances du secteur du luxe au premier trimestre, malgré le Japon, avec des ventes en hausse de 25,5% portées par une dynamique toujours très puissante en Asie ainsi que par une exceptionnelle croissance aux Etats-Unis.
Le chiffre d'affaires du sellier de la rue du Faubourg Saint-Honoré, dans lequel LVMH a pris une participation de 20%, a atteint 637,1 millions d'euros, dépassant nettement le consensus des analystes interrogés par Reuters qui était de 583 millions d'euros.
Sa croissance à taux de change constants a atteint 20,7%, un chiffre lui aussi largement supérieur aux attentes (+14%), une performance d'autant plus remarquable que la croissance avait déjà atteint 20% un an auparavant.
La banque HSBC veut économiser 3,5 milliards de dollars
HSBC Holdings a annoncé mercredi son intention d'économiser jusqu'à 3,5 milliards de dollars (2,4 milliards d'euros) en réduisant la voilure dans ses activités de gestion de patrimoine et de banque de détail. La première banque européenne étudie également l'avenir de son activité dans les cartes de crédit aux Etats-Unis, a précisé son directeur général Stuart Gulliver.
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