Faits Divers - Société
14/05/2011 19:22

Actu Santé: Les caresses qui font durer le plaisir...


Les caresses qui font durer le plaisir; Les platanes donnent le rhume des foins; Bien-être : conseils pour vivre plus lentement; Les bienfaits du café contre le cancer; Alcool : pas de médicament-miracle !.


Les caresses qui font durer le plaisir
Selon Top Santé, Doux baisers, massages tendres, gestes coquins... Pas de sexualité épanouie sans jeux de mains et de bouches...
Les caresses, qui portent le doux nom de "préliminaires", augmentent l'intimité au sein du couple.Très souvent, les femmes se plaignent du trop grand empressement de leur partenaire, qui "expédie" cette étape comme une simple formalité à laquelle il n'y a pas lieu de consacrer beaucoup de temps. Cela peut nuire fortement à l'épanouissement de leur sexualité : elles ont l'impression de n'exister que pour satisfaire les besoins de leur compagnon, ne se sentent pas désirées, donc non désirables et c'est la porte ouverte aux problèmes sexuels. Une conséquence d'autant plus regrettable que les caresses peuvent à elles seules procurer un très grand plaisir physique à la femme comme à l'homme.Des travaux scientifiques ont montré qu'une femme ayant éprouvé une jouissance clitoridienne au cours de ces préliminaires éprouve un orgasme par pénétration en deux fois moins de temps (huit minutes en moyenne).

Les platanes donnent le rhume des foins
Selon Le Figaro.fr, En ville, les poils des fruits qui tombent sur les trottoirs à la fin du printemps provoquent éternuements et irritations des yeux.
Les aiguilles des fruits du platane (en médaillon), entourées d'un duvet qui facilite la dissémination par le vent, sont groupées en boules. DR
«On devrait interdire la plantation des platanes dans les villes», affirme Michel Thibaudon, directeur du Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA). Non pas à cause de leurs pollens qui sont moins allergisants que ceux du bouleau ou des graminées, mais à cause des poils de leurs fruits et de leurs feuilles. Se présentant sous la forme d'aiguilles microscopiques qui, à la fin du printemps, forment des petits tas de coton jaunâtre dans les caniveaux et sur les trottoirs, ces poils sont aussi brassés dans l'air. Ils vont alors se planter dans les muqueuses du nez ou au bord des yeux des citadins. Les plus sensibles éternuent, ont le nez qui coule et les yeux qui pleurent.

Bien-être : conseils pour vivre plus lentement
Selon Top Santé, Le monde d'aujourd'hui vit à toute vitesse. Pour ne pas vous laisser entraîner dans ce tourbillon, prenez le temps de ralentir. Nos conseils pour savourer la vie autrement dès ce week-end.
Certes, ce n’est pas chose facile quand le travail ou les tâches ménagères dictent votre train de vie. Mais prendre du temps pour ses enfants apporte une très grande satisfaction. Ces moments passés sont bénéfiques au quotidien, ils vous apaisent.Accompagnez-les à l’école dès que possible, écoutez-les parler, rire, observez-les. Le soir, proposez-leur de préparer à dîner avec vous plutôt que d’être stressée seule en cuisine. Puis, prenez le temps de manger tous ensemble et surtout, coupez la télévision pendant le repas.

Les bienfaits du café contre le cancer
Selon LePoint.fr, Le "petit noir" contient plus de 800 composants et une concentration en antioxydants supérieure à celle du thé vert.
La consommation de cinq tasses de café par jour réduirait de 57 % les risques de cancer du sein. C'est le résultat d'une vaste étude menée par des chercheurs de l'institut Karolinska, à Stockholm, qui vient d'être publié dans la revue scientifique Breast Cancer Research. Après avoir analysé les données provenant de près de 6 000 femmes (2 818 malades et 3 111 témoins), les auteurs notent que cet effet bénéfique concerne celles dont le cancer est dit RE. RE pour récepteurs hormonaux des oestrogènes. Leur dosage permet de mesurer la probabilité de réponse d'un traitement hormonal. Ces récepteurs ne sont pas retrouvés dans environ un tiers des cancers du sein.

Alcool : pas de médicament-miracle !
Selon Destination Santé, Cinq millions de Français auraient « un usage problématique d'alcool et avec 52 000 décès par an, ce toxique est la seconde cause de mortalité évitable dans notre pays, derrière le tabac. La dépendance à l'alcool est très difficile à traiter et un médicament utilisé dans d'autres indications, le baclofène, fait actuellement l'objet de débats intenses. Alors que son Autorisation de mise sur le marché (AMM) ne l'autorise pas, certains médecins n'hésitent pas en faire la promotion. D'autres affichent leur prudence. Comment fonctionne cette molécule ? Quelle est son efficacité réelle ? Quelle est actuellement le consensus scientifique ? Les réponses du Pr François Paille, secrétaire général de la Fédération française d'Addictologie (FFA).

Source: Yahoo News


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