Toutefois, les négociations achoppent toujours sur le retour de celui-ci. Les partisans de Zelaya accepteraient de renoncer à réformer la Constitution s'il revenait aux affaires.
Cependant, certains de ses supporters ne sont pas sur la même ligne, comme Juan Barahona, qui avait emmené des manifestations de rue contre les putschistes. Il a quitté la table des négociations après l'accord sur la non-modification de la Constitution. Les critiques considéraient que cette révision visait principalement à prolonger le mandat du président sortant, à l'image de ce qu'a fait Hugo Chavez au Venezuela.
Les pourparlers bilatéraux entamés la semaine dernière avaient déjà permis quelques progrès, avant le week-end.
La négociatrice du président Zelaya, Rassel Toms, avait déclaré espérer amener les négociations mardi vers le centre du sujet, le retour au pouvoir du président évincé.
La communauté internationale fait pression sur le gouvernement par intérim pour qu'il rétablisse le président élu, avant de nouvelles élections programmées à fin novembre, avant le putsch. Le chef du gouvernement de transition Roberto Micheletti a rejeté cette possibilité jusqu'ici. Son représentant Armando Aguilar se dit prêt à faire durer les négociations pendant des semaines.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Cependant, certains de ses supporters ne sont pas sur la même ligne, comme Juan Barahona, qui avait emmené des manifestations de rue contre les putschistes. Il a quitté la table des négociations après l'accord sur la non-modification de la Constitution. Les critiques considéraient que cette révision visait principalement à prolonger le mandat du président sortant, à l'image de ce qu'a fait Hugo Chavez au Venezuela.
Les pourparlers bilatéraux entamés la semaine dernière avaient déjà permis quelques progrès, avant le week-end.
La négociatrice du président Zelaya, Rassel Toms, avait déclaré espérer amener les négociations mardi vers le centre du sujet, le retour au pouvoir du président évincé.
La communauté internationale fait pression sur le gouvernement par intérim pour qu'il rétablisse le président élu, avant de nouvelles élections programmées à fin novembre, avant le putsch. Le chef du gouvernement de transition Roberto Micheletti a rejeté cette possibilité jusqu'ici. Son représentant Armando Aguilar se dit prêt à faire durer les négociations pendant des semaines.
Source: Associated Presse via Yahoo News