La nouvelle campagne de vaccination contre le Covid bat son plein, les vaccins à ARN ont le vent en poupe…
Et pourtant, toute la lumière n’a pas encore été faite sur les effets secondaires de ces nouveaux produits.
Une équipe de l’University Hospital de Bâle en Suisse a décidé de prendre le taureau par les cornes et de s’attaquer à cette question plus que polémique(1 2).
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats, validés par la Société française de cardiologie, font froid dans le dos(3 ):
On ne parle pas de 2 fois voire de 3 fois plus de myocardites à l’issue de la vaccination…
… mais bien de 800 fois plus, comparé aux hospitalisations pour myocardites enregistrées lors des années d’avant Covid !
Pourtant, les campagnes de vaccination continuent de s’enchaîner.
Alors comment se fait-il que les autorités n’aient jamais communiqué sur un tel sujet ?
On passe de 0,0035 % d’hospitalisations pour myocardites à 2,8 %(4) !
Cette étude aux résultats aberrants a été menée sur 835 patients du CHU de Bâle, qui avaient déjà tous reçu au moins une dose de vaccin, Pfizer ou Moderna.
Et son concept est tout simple :
Les médecins savent qu’en cas de “lésions myocardiques, le taux des troponines augmente(5)”, il s’agit de “protéines impliquées dans la régulation des contractions cardiaques(6)”.
Une partie des patients a donc été vaccinée et leur taux de troponines mesuré, trois jours après.
Parmi les 777 patients choisis pour être contrôlés, 40 présentaient des taux de troponines trop élevés, dont 22 sans autre raison valable que la vaccination en elle-même(7).
Plus étonnant encore, selon cette étude, et contrairement à ce qui a pu largement se dire auparavant, les femmes seraient davantage à risque que les hommes :
Ainsi, 2,8 % de population vaccinée présente des lésions myocardiques selon cette étude, 3,7 % chez des femmes et 0,8 % des hommes(8).
Ces résultats paraissent d’autant plus choquants que cette mesure du taux de troponines a l'air d’être un moyen excessivement facile de contrôler les effets des vaccins ARN sur la santé cardiovasculaires.
Pourquoi est-ce que cela n’a pas été fait avant ?
La protéine Spike, une bombe à retardement au coeur de vos cellules
Pour rappel, une myocardite est une inflammation du myocarde, c’est-à-dire du muscle cardiaque, qui peut notamment survenir après une agression virale à laquelle réagit le système immunitaire.
Or pour Christian Mueller, le cardiologue à la tête de cette étude, les protéines Spike sont clairement à blâmer dans le cas présent :
“Ce qu’on sait cependant, c’est que les injections à ARN messager (ou à adénovirus vecteurs) consistent à faire fabriquer par les cellules de la personne vaccinée des protéines Spike responsables de troubles sur le système cardio-vasculaire(9).”
Comme vous venez de le lire, avec le fonctionnement des vaccins ARN, ce sont nos propres cellules qui fabriquent ces protéines, pour apprendre à les reconnaître et se protéger contre le coronavirus.
Ainsi, même les cellules cardiaques peuvent en fabriquer et malencontreusement faire surréagir le système immunitaire au passage(10).
Sans oublier les effets toxiques de la protéine Spike sur l’endothélium (la paroi vasculaire du cœur et des vaisseaux sanguins) “provoquant inflammation, hypercoagulabilité et thromboses.
Ceci peut s’exprimer cliniquement par des infarctus du myocarde, des thrombophlébites cérébrales et des accidents vasculaires cérébraux (AVC)(11).”
Autrement dit, le loup pourrait être dans la bergerie et les vaccins nous transformeraient en bombe à retardement.
Et faire des vaccinations à répétition n’arrange en rien cette situation, bien au contraire !
Enfin, si cela ne suffisait pas, les myocardites peuvent bien souvent être asymptomatiques et présentent en général des complications sur le tard, des années voire des décennies plus tard(12).
Ou comme le conclut l’article de FranceSoir :
“Espérons que l’inoculation de masse d’un tel « vaccin » totalement novateur, dans le mépris du principe de précaution, après avoir renvoyé les patients chez eux sans les soigner et sans surveillance, ne conduise pas à la survenue d’une épidémie d’insuffisance cardiaque sur myocardiopathie dilatée dans les 10 à 15 ans à venir(13).”
Le vaccin n’est pas la solution miracle au coronavirus, c’est un fait.
Pour autant, une nouvelle étude américaine vient de conclure que le risque de développer une myocardite était 7 fois plus élevé quand on est affecté par le Covid sans être vacciné que lorsqu’on est vacciné.
Bien évidemment, nous reviendrons prochainement sur ces résultats (nous ne sommes jamais à l’abri d’une étude subventionnée par les laboratoires pharmaceutiques), mais cette conclusion est néanmoins glaçante :
Vaccinés ou non, infectés ou non, il semblerait bien qu’une augmentation des cas de myocardites nous attende dans tous les cas de figure.
Prenez soin de vous,
Source : Santé Non Censurée
1 https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19
2 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
3 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
4 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
5 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
6 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
7 https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19
8 https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19
9 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
10 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
11 https://www.francesoir.fr/tribunes/myocardites-post-vaccinales-covid-19-des-risques-d-insuffisance-cardiaque-long-terme
12 https://www.francesoir.fr/tribunes/myocardites-post-vaccinales-covid-19-des-risques-d-insuffisance-cardiaque-long-terme
13 https://www.francesoir.fr/tribunes/myocardites-post-vaccinales-covid-19-des-risques-d-insuffisance-cardiaque-long-terme
14 https://www.lindependant.fr/2022/10/20/covid-peu-mortelles-plus-frequentes-chez-les-infectes
Et pourtant, toute la lumière n’a pas encore été faite sur les effets secondaires de ces nouveaux produits.
Une équipe de l’University Hospital de Bâle en Suisse a décidé de prendre le taureau par les cornes et de s’attaquer à cette question plus que polémique(1 2).
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats, validés par la Société française de cardiologie, font froid dans le dos(3 ):
On ne parle pas de 2 fois voire de 3 fois plus de myocardites à l’issue de la vaccination…
… mais bien de 800 fois plus, comparé aux hospitalisations pour myocardites enregistrées lors des années d’avant Covid !
Pourtant, les campagnes de vaccination continuent de s’enchaîner.
Alors comment se fait-il que les autorités n’aient jamais communiqué sur un tel sujet ?
On passe de 0,0035 % d’hospitalisations pour myocardites à 2,8 %(4) !
Cette étude aux résultats aberrants a été menée sur 835 patients du CHU de Bâle, qui avaient déjà tous reçu au moins une dose de vaccin, Pfizer ou Moderna.
Et son concept est tout simple :
Les médecins savent qu’en cas de “lésions myocardiques, le taux des troponines augmente(5)”, il s’agit de “protéines impliquées dans la régulation des contractions cardiaques(6)”.
Une partie des patients a donc été vaccinée et leur taux de troponines mesuré, trois jours après.
Parmi les 777 patients choisis pour être contrôlés, 40 présentaient des taux de troponines trop élevés, dont 22 sans autre raison valable que la vaccination en elle-même(7).
Plus étonnant encore, selon cette étude, et contrairement à ce qui a pu largement se dire auparavant, les femmes seraient davantage à risque que les hommes :
Ainsi, 2,8 % de population vaccinée présente des lésions myocardiques selon cette étude, 3,7 % chez des femmes et 0,8 % des hommes(8).
Ces résultats paraissent d’autant plus choquants que cette mesure du taux de troponines a l'air d’être un moyen excessivement facile de contrôler les effets des vaccins ARN sur la santé cardiovasculaires.
Pourquoi est-ce que cela n’a pas été fait avant ?
La protéine Spike, une bombe à retardement au coeur de vos cellules
Pour rappel, une myocardite est une inflammation du myocarde, c’est-à-dire du muscle cardiaque, qui peut notamment survenir après une agression virale à laquelle réagit le système immunitaire.
Or pour Christian Mueller, le cardiologue à la tête de cette étude, les protéines Spike sont clairement à blâmer dans le cas présent :
“Ce qu’on sait cependant, c’est que les injections à ARN messager (ou à adénovirus vecteurs) consistent à faire fabriquer par les cellules de la personne vaccinée des protéines Spike responsables de troubles sur le système cardio-vasculaire(9).”
Comme vous venez de le lire, avec le fonctionnement des vaccins ARN, ce sont nos propres cellules qui fabriquent ces protéines, pour apprendre à les reconnaître et se protéger contre le coronavirus.
Ainsi, même les cellules cardiaques peuvent en fabriquer et malencontreusement faire surréagir le système immunitaire au passage(10).
Sans oublier les effets toxiques de la protéine Spike sur l’endothélium (la paroi vasculaire du cœur et des vaisseaux sanguins) “provoquant inflammation, hypercoagulabilité et thromboses.
Ceci peut s’exprimer cliniquement par des infarctus du myocarde, des thrombophlébites cérébrales et des accidents vasculaires cérébraux (AVC)(11).”
Autrement dit, le loup pourrait être dans la bergerie et les vaccins nous transformeraient en bombe à retardement.
Et faire des vaccinations à répétition n’arrange en rien cette situation, bien au contraire !
Enfin, si cela ne suffisait pas, les myocardites peuvent bien souvent être asymptomatiques et présentent en général des complications sur le tard, des années voire des décennies plus tard(12).
Ou comme le conclut l’article de FranceSoir :
“Espérons que l’inoculation de masse d’un tel « vaccin » totalement novateur, dans le mépris du principe de précaution, après avoir renvoyé les patients chez eux sans les soigner et sans surveillance, ne conduise pas à la survenue d’une épidémie d’insuffisance cardiaque sur myocardiopathie dilatée dans les 10 à 15 ans à venir(13).”
Le vaccin n’est pas la solution miracle au coronavirus, c’est un fait.
Pour autant, une nouvelle étude américaine vient de conclure que le risque de développer une myocardite était 7 fois plus élevé quand on est affecté par le Covid sans être vacciné que lorsqu’on est vacciné.
Bien évidemment, nous reviendrons prochainement sur ces résultats (nous ne sommes jamais à l’abri d’une étude subventionnée par les laboratoires pharmaceutiques), mais cette conclusion est néanmoins glaçante :
Vaccinés ou non, infectés ou non, il semblerait bien qu’une augmentation des cas de myocardites nous attende dans tous les cas de figure.
Prenez soin de vous,
Source : Santé Non Censurée
1 https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19
2 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
3 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
4 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
5 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
6 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
7 https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19
8 https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19
9 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
10 https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/800-fois-myocardites/?s=08
11 https://www.francesoir.fr/tribunes/myocardites-post-vaccinales-covid-19-des-risques-d-insuffisance-cardiaque-long-terme
12 https://www.francesoir.fr/tribunes/myocardites-post-vaccinales-covid-19-des-risques-d-insuffisance-cardiaque-long-terme
13 https://www.francesoir.fr/tribunes/myocardites-post-vaccinales-covid-19-des-risques-d-insuffisance-cardiaque-long-terme
14 https://www.lindependant.fr/2022/10/20/covid-peu-mortelles-plus-frequentes-chez-les-infectes