Des dizaines de jeunes ont suivi hier à Dakar l’atelier sur l’employabilité organisé par le Mouvement des entreprises du Sénégal (Meds) à la Maison de la culture Douta Seck. Ces jeunes diplômés venus s’initier à la technique de recherche d’emploi, font partie de ceux qui se sont inscrits pour participer au 8e Forum du 1er Emploi de l’organisation entrepreneuriale, prévu les 6 et 7 novembre courant.
Selon son président, Mbagnick Diop, le Meds a décidé de mettre à nouveau l’accent sur l’auto-emploi, la formation en alternance et tremplin pour l’entreprise. Son mouvement veut à cette occasion vulgariser le concept de « l’essaimage » ou « créer sa boîte avec l’aide de son employeur », actuellement en cours dans certains grands pays industrialisés du Nord.
A en croire les statistiques de la Banque mondiale, reprises par M. Diop, « 6 jeunes sur 10 de moins de 35 ans sont au chômage ». Le représentant du ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle constatera ainsi qu’« il y a trop de métiers sans jeunes et trop de jeunes sans métiers ». Alioune Badara Wagué a laissé entendre que l’auto-emploi est un créneau complémentaire aux limites de l’insertion dans la fonction publique et dans le secteur privé.
« Nous devons convaincre les jeunes que la meilleure garantie de l’emploi, c’est d’être son propre employeur », a indiqué M. Wagué, soulignant que la tutelle a décidé dorénavant de créer une « cellule d’insertion professionnelle » dans toutes les structures relevant du département. Il a invité les institutions de promotion de l’auto-emploi, les établissements de micro-finance à se joindre à la dynamique pour aider les jeunes à mettre en place leurs propres projets.
« Nous nous reconnaissons dans les activités du Meds en faveur de la promotion de l’emploi et appuierons toutes les activités qui s’inscrivent dans ce cadre », a noté pour sa part Mandaw Fall, représentant le ministre de la Jeunesse. « En regardant cette salle remplie de jeunes, en quête d’un premier emploi, je mesure davantage l’ampleur du challenge », dira-t-il.
Source: Le Soleil
Selon son président, Mbagnick Diop, le Meds a décidé de mettre à nouveau l’accent sur l’auto-emploi, la formation en alternance et tremplin pour l’entreprise. Son mouvement veut à cette occasion vulgariser le concept de « l’essaimage » ou « créer sa boîte avec l’aide de son employeur », actuellement en cours dans certains grands pays industrialisés du Nord.
A en croire les statistiques de la Banque mondiale, reprises par M. Diop, « 6 jeunes sur 10 de moins de 35 ans sont au chômage ». Le représentant du ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle constatera ainsi qu’« il y a trop de métiers sans jeunes et trop de jeunes sans métiers ». Alioune Badara Wagué a laissé entendre que l’auto-emploi est un créneau complémentaire aux limites de l’insertion dans la fonction publique et dans le secteur privé.
« Nous devons convaincre les jeunes que la meilleure garantie de l’emploi, c’est d’être son propre employeur », a indiqué M. Wagué, soulignant que la tutelle a décidé dorénavant de créer une « cellule d’insertion professionnelle » dans toutes les structures relevant du département. Il a invité les institutions de promotion de l’auto-emploi, les établissements de micro-finance à se joindre à la dynamique pour aider les jeunes à mettre en place leurs propres projets.
« Nous nous reconnaissons dans les activités du Meds en faveur de la promotion de l’emploi et appuierons toutes les activités qui s’inscrivent dans ce cadre », a noté pour sa part Mandaw Fall, représentant le ministre de la Jeunesse. « En regardant cette salle remplie de jeunes, en quête d’un premier emploi, je mesure davantage l’ampleur du challenge », dira-t-il.
Source: Le Soleil