Hormis l’Astra Zeneca qui est un vaccin contre la COVID-19, on dénombre d’autres variantes de vaccin sur le marché parmi lesquelles on compte le vaccin Pfizer. De son vrai nom Corminaty, ce vaccin doit l'essentiel de sa production au laboratoire américain Pfizer et à BioNTech en Allemagne.
Autorisé dans tous les pays de l’Union européenne, l’on procède à son injection par dose depuis qu’il est en diffusion dans cet espace. Moins chère et facile à produire en comparaison aux autres vaccins, la vraie problématique à laquelle il est soumis est sa conservation, d’autant plus que ce dernier est très fragile.
Autorisé dans tous les pays de l’Union européenne, l’on procède à son injection par dose depuis qu’il est en diffusion dans cet espace. Moins chère et facile à produire en comparaison aux autres vaccins, la vraie problématique à laquelle il est soumis est sa conservation, d’autant plus que ce dernier est très fragile.
Plus de peur que mal
C’est dans l’après-midi du mardi 20 avril que les autorités sanitaires ont narré des faits en ce qui concerne les 140 personnes à qui ont été injectés un sérum physiologique à la place de la dose de vaccin Pfizer qu’il devait recevoir. Plus de peur que de mal, de source sûre, il a été rapporté que le sérum n’aurez aucune incidence à caractère nuisible sur la santé de ses patients.
Les autorités dans leur dynamique d’apaiser les victimes et de rassurer les populations, ils ont opté pour une transparence totale en exposant les faits selon l’avancement des choses. De ce fait, des points de presse se tiennent.
Ainsi, le lendemain de l’incident, des agents ont été mandatés pour compléter les rangs du corps médical dans le centre de santé afin de déterminer ce qui a occasionné cette erreur et en passant s’assurer que les mesures de sécurité soient davantage renforcées pour éviter de tels débordements.
En outre, des entrevues ont été proposées aux 140 personnes les jours qui ont suivi sans qu’on ne connaisse la véritable cause de cette erreur.
Les autorités dans leur dynamique d’apaiser les victimes et de rassurer les populations, ils ont opté pour une transparence totale en exposant les faits selon l’avancement des choses. De ce fait, des points de presse se tiennent.
Ainsi, le lendemain de l’incident, des agents ont été mandatés pour compléter les rangs du corps médical dans le centre de santé afin de déterminer ce qui a occasionné cette erreur et en passant s’assurer que les mesures de sécurité soient davantage renforcées pour éviter de tels débordements.
En outre, des entrevues ont été proposées aux 140 personnes les jours qui ont suivi sans qu’on ne connaisse la véritable cause de cette erreur.