Militant dans les rangs du mouvement national de libération, Mohamed Nafaâ avait été incarcéré avec l'ex-président Habib Bourguiba lors des affrontements sanglants avec les forces françaises du 18 janvier 1952 qui avaient conduit, quatre ans plus tard, à l'indépendance du pays.
Professeur de grec-latin, cet intellectuel musulman réputé pour sa modestie, sa simplicité et sa grande culture, avait accédé en 1948 à la direction du PCT qui était alors une section de ce qui allait devenir le parti communiste français, aux côtés du juif tunisien Maurice Nizar.
Parmi les personnalités présentes à son enterrement au cimetière de Carthage-Byrsa, dans la banlieue nord de Tunis, figuraient notamment le président de la chambre des députés, Fouad Mébazzaâ, et des responsables d'associations dont le président de la Ligue tunisienne de défense des droits de l'homme (LTDH), Mokhtar Trifi, et le président de l'Association laïque tunisienne, Salah Zéghidi.
Professeur de grec-latin, cet intellectuel musulman réputé pour sa modestie, sa simplicité et sa grande culture, avait accédé en 1948 à la direction du PCT qui était alors une section de ce qui allait devenir le parti communiste français, aux côtés du juif tunisien Maurice Nizar.
Parmi les personnalités présentes à son enterrement au cimetière de Carthage-Byrsa, dans la banlieue nord de Tunis, figuraient notamment le président de la chambre des députés, Fouad Mébazzaâ, et des responsables d'associations dont le président de la Ligue tunisienne de défense des droits de l'homme (LTDH), Mokhtar Trifi, et le président de l'Association laïque tunisienne, Salah Zéghidi.
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